Vidéosurveillance et preuve illicite : pour être recevable, encore faut-il que l'employeur invoque son droit à la preuve !


La Chambre sociale de la Cour de cassation a infléchi de manière générale sa position en matière d’irrecevabilité d’une preuve illicite. Un infléchissement qui s’applique également à la production de preuves issues d’un dispositif de vidéosurveillance des salariés.

S’il n’invoque pas devant les juges son droit à la preuve, l’employeur ne peut leur reprocher de n’avoir pas vérifié si le rejet d’une preuve illicite ne porte pas atteinte au caractère équitable de la procédure.
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