Des propos à connotation sexuelle imposés de façon réitérée à une salariée constituent des faits de harcèlement sexuel


Des propos à connotation sexuelle imposés de façon réitérée à une salariée, en dehors de tout contexte de plaisanterie ou de familiarité, peuvent constituer un harcèlement sexuel. C’est ce que rappelle la Cour de cassation dans un arrêt du 18 novembre 2020.



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